J’ai 24 ans. Je suis étudiant en Mastère de Journalisme à l’EDJ de Nice. Je suis également passé plusieurs fois par les équipes de France Bleu comme animateur remplaçant et journaliste pigiste.
Ce que j’aime dans la vie, c’est partager, faire découvrir, expliquer. C’est donc assez naturellement que je me suis pris de passion pour le journalisme, l’information et ses pratiques depuis une quinzaine d’années.
Journalisme et radio : une véritable passion
La radio est pour moi un média de cœur parce qu’il est naturel, brut et sans artifices. En prime, c’est un média de l’immédiat qui possède une sorte de magie ! Quant au journalisme, il « consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité » (Charte d’éthique professionnelle des journalistes). Et malgré les controverses qui subsistent sur le rôle, l’utilité et la crédibilité des journalistes, je persiste à dire que le journalisme est un pilier de notre société. C’est essentiellement à la radio, à la télé, dans la presse écrite, et aujourd’hui sur le numérique que nous apprenons ce qu’il se passe à l’échelle mondiale, nationale ou locale. Ce que nous souhaitons ? Des informations fiables et objectives. Un bon journaliste s’attache alors à nous faire part de l’information la plus sûre, la plus claire et la plus précise possible. Le bon journaliste relate les faits tels qu’ils sont, et non tels qu’il veut les montrer. Il aime être parfois au cœur de l’actualité brûlante, de l’action et prend du plaisir à se rendre sur le terrain, interroger les personnes concernées et comprendre pour mieux expliquer. C’est un métier de passion.
« Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion »
C’est une réflexion du philosophe Hegel qui me représente beaucoup. Le journalisme et le monde des médias sont faits de frustrations, d’échecs, de vaines tentatives et requièrent beaucoup de travail pour y réussir. Il faut souvent prendre sur soi, retenter les choses, se dépasser, parfois faire preuve d’un peu de culot. « Notre plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois », disait Confucius. Il faut beaucoup de courage et de passion pour parvenir au métier visé au départ. Mais quand on aime, on ne compte pas. On va, on fonce.
En école de journalisme
Le journalisme est un métier dont on apprend beaucoup. Grâce à lui, on apprend à rester humble, à s’intéresser à tout, à découvrir la richesse du monde. C’est peut-être pour tout cela que j’ai souhaité poursuivre dans cette voie. Rejoindre une école, me former à ce métier passionnant. Intégrer une école de journalisme, l’EDJ de Nice, qui me permette de découvrir les rouages de cette grande profession, par laquelle sont passés tant de grands personnages inscrits dans l’histoire. D’Albert Londres, à Florence Aubenas, d’Albert Camus à Claire Chazal. Ensuite, intégrer la radio, la télévision, ou même la presse écrite ; tous ces milieux qui ont tant de choses à m’apprendre. M’immiscer dans cette voie qui nous est ouverte si notre esprit l’est aussi. Cette voie de découverte, cette voie de culture, cette voie d’aventure. Ou peut-être un peu de toutes ces voies à la fois.
Mon parcours par ordre antéchronologique
2024
En septembre 2024, j’intègre l’agence de Nice du journal Nice-Matin pour un stage de deux mois dans le cadre de mon Master de journalisme.
En juillet et août 2024, j’assure l’animation de la matinale (6h/10h) de France Bleu Azur.
En juin 2024, j’intègre la rédaction de France Bleu Azur pendant un mois dans le cadre de mon stage de Master. L’occasion de réaliser des sons sur le terrain, d’écrire des articles web, mais aussi d’écrire des papiers pour les lire en direct dans les rendez-vous d’information. ➜ Lire tous mes articles
En mai 2024, je fonde le média web Hexact, dans le cadre d’un projet scolaire avec l’EDJ de Nice. Aux côtés de six autres étudiants, je développe techniquement le site web et contribue régulièrement avec la publication d’articles. ➜ Découvrir tous mes articles
En avril 2024, je suis sélectionné par l’école pour couvrir le festival Canneseries, festival international des séries à Cannes.
En mars 2024, j’anime des ateliers d’éducation aux médias dans plusieurs collèges et lycées des Alpes-Maritimes dans le cadre de mes études à l’EDJ de Nice.
2023
En novembre 2023, je participe à l’interview télévisée de Marion Maréchal dans l’émission Face aux lecteurs organisée par Nice Matin.
En octobre 2023, j’intègre l’École du journalisme de Nice en mastère de journalisme, option Information générale, dans le but d’être formé aux différents métiers du monde du journalisme.
En septembre 2023, je décide de rejoindre le média associatif AR1 en tant que journaliste bénévole, élu ensuite au poste de Vice-président en charge de l’information.
En août 2023, je quitte mes fonctions assurées pour le média associatif La Loop afin de préparer mon départ à Nice.
En juin 2023, je soutiens mon mémoire de fin d’études sur la critique médiatique, portant le titre suivant : Audiovisuel public : la question de la réception et du traitement de la critique médiatique par les journalistes. Un travail me permettant de valider mon année avec la note de 14,5/20.
En février 2023, j’intègre le service communication du Grand Besançon Métropole pour 6 mois dans le cadre de mon stage de Master. Curieux de découvrir le monde de la communication, j’ai eu envie de tester ce domaine, sachant toutefois qu’il n’était pas inscrit dans mon projet de vie professionnelle.
En juillet 2022, je découvre l’animation de la matinale semaine de France Bleu Besançon, seule tranche non testée. Tranche très stimulante, mais aussi très rythmée. Mon remplacement durera 2 semaines.
2022
En décembre 2021, j’anime pendant une semaine le 9h – 12h de France Bleu Besançon. Encore une bonne dose de stress, mais aussi de très grand plaisir à l’antenne.
En septembre 2021, j’entre en première année de Master Information-Communication, toujours à l’Université de Franche-Comté pour poursuivre mon cursus entamé il y a trois ans de cela.
En septembre 2021, faute de temps, je quitte la rédaction de l’Est Républicain après trois ans de collaboration.
En avril 2021, j’intègre le service communication de la ville de Bavilliers à l’occasion de mon stage universitaire d’un mois.
2021
En novembre 2020, je fonde le média La Loop Besançon avec les douze autres étudiants en journalisme de ma promo universitaire et en deviens le rédacteur en chef.
En octobre 2020, j’anime pour la première fois une matinale week-end sur France Bleu Besançon en remplacement d’un animateur. (7h00 à 10h00 et de 11h00 à 12h30).
En août 2020, j’intègre l’équipe de matinale chez France Bleu Besançon comme chroniqueur. Je propose dès la rentrée de septembre une chronique hebdomadaire pour découvrir la diversité d’études qu’offre la région Bourgogne Franche-Comté.
En juillet 2020, je lance un concept d’émission Pour comprendre le droit. Séquencée en plusieurs numéros, son but est d’expliquer au grand public le fonctionnement complexe du droit français et de notre institution judiciaire de façon simple et courte.
2020
En novembre 2019, je pars en voyage de presse à Paris pour participer à la conférence de presse avec les artistes du groupe The Dire Straits Experience et assister à leur concert.
En septembre 2019, je lance un concept de chroniques sur Radio Campus Besançon dans l’émission Sortie d’amphi présentée par Cécile Pollart. Le but : parler avec humour de la vie étudiante, une semaine sur deux.
En avril 2019, je participe à l’émission en direct du Tour du Monde en 80 plats pour Radio Campus Besançon.
En mars 2019, je rejoins Radio Campus Besançon en tant que journaliste-bénévole pour y réaliser chroniques, émissions et reportages.
En janvier 2019, je prête ma voix pour réaliser une promo pour le répondeur de France Bleu Besançon.
En janvier 2019, je co-anime trois jours en direct la tranche 11h-12h sur France Bleu Besançon avec Cyril Seguin. J’accueille les auditeurs qui viennent jouer à l’antenne au « Kezako ».
2019
En novembre 2018, je réalise une troisième (et dernière pige) de 32 minutes chez France Bleu Besançon, celle dont je suis le plus fier ! Au programme : lancements et pieds des disques et chroniques, interview d’un producteur et animation d’un jeu faisant intervenir un auditeur par téléphone.
En octobre 2018, j’enregistre une deuxième pige de 40 minutes chez France Bleu Besançon. Émission et interview plus sérieuse cette fois ! Pour l’occasion, Cyril Seguin contacte des producteurs pour que nous puissions échanger par téléphone sur leurs spécialités. Au programme donc : lancements et pieds des disques et interviews par téléphone.
En septembre 2018, j’enregistre une première pige d’essai chez France Bleu Besançon où je présente la météo, je lance un disque et je réalise une interview fictive au sujet très léger : « Comment soulager les maux de dos en utilisant la poudre de Perlimpinpin », Cyril Seguin étant l’invité de mon émission. L’interview, bien que légère, a permis immédiatement de cerner mes tics de langage et les défauts à améliorer pour la prise de parole à la radio. ➜ Découvrir toutes mes productions France Bleu
En septembre 2018, j’assiste à plusieurs matinales de France Bleu Besançon, animées par Cyril Seguin et Dominique Morize depuis les studios situés Place Granvelle à Besançon.
En septembre 2018, je rejoins l’Est Républicain en devenant correspondant de presse. Je rédige alors des articles pour l’édition print et web de Besançon. Des articles souvent axés sur la culture, bien que d’autres thèmes me soient souvent proposés, me permettant d’interviewer chanteurs, humoristes et artistes. Mon premier papier est paru fin septembre 2018. ➜ Découvrir tous mes articles
En septembre 2018, après avoir décroché mon baccalauréat scientifique, je rejoins l’Unité de Formation et de Recherche en Sciences du Langage, de l’Homme et de la Société (UFR SLHS) pour y suivre une licence Information et Communication.
En mai 2018, j’assiste à la Journée académique de l’innovation à Besançon durant laquelle plusieurs autres jeunes et moi-même sommes chargés de réaliser une émission résumant cette journée, rythmée par des ateliers et des conférences.
En avril 2018, je quitte InfoTV et son équipe, faute de temps. Année du bac oblige, mes cours de lycéen scientifique sont trop prenants, et je consacre mon temps libre à la webradio du lycée.
En janvier 2018, je visite les studios de France Bleu Belfort Montbéliard et y enregistre une chronique. Je réaliserai d’ailleurs quelques jours plus tard une autre chronique, seul, à la maison cette fois, pour l’antenne de France Bleu Besançon.
2018
En décembre 2017, je participe à la création du club webradio du lycée et l’intègre. Quelques jours plus tard, je suis nommé présentateur principal et « chef d’orchestre » des émissions de cette nouvelle webradio, appelée Silence Radio. Webradio pour laquelle j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler, avec une équipe attachante et dynamique.
En juillet 2017, je passe deux jours aux Rendez-vous de Juillet, à Autun (71). Un festival dédié au journalisme, qui aborde plusieurs sujets de société chaque année. À cette occasion, j’assiste notamment au témoignage de Florence Aubenas, ancienne journaliste détenue comme otage en Irak en 2005, et Fabrice Arfi (Médiapart). J’échange aussi avec Constance Poniatowski, cocréatrice du magasine Ebdo, en construction à ce moment-là. (publié pour la première fois en janvier 2018, sa parution cesse en mars 2018 par manque de fonds. Plus d’informations sur la page Wikipédia en cliquant ici)
En mars 2017, je lance Un mois, un pays, une émission mensuelle de découverte sur InfoTV. Le nom parle de lui-même. Son but : faire découvrir en moins de 10 minutes un pays sous différents angles : nourriture, traditions, politique, et plus encore. Comme je ne pouvais pas me rendre dans ces pays, je préparais mon émission avec de la documentation et des images trouvées dans les banques libres de droits.
2017
En août 2016, je rejoins InfoTV, chaîne YouTube d’information. Je voulais travailler en équipe, pouvoir compter sur le travail de plusieurs personnes. J’ai toujours aimé ce proverbe africain « Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin ». L’occasion de réaliser de nombreux émissions et reportages, notamment au sujet d’un meeting de Manuel Valls. Je capture une bonne partie de ce dernier avant de tenter de lui dire un mot… Sans succès ! De retour à la maison, je réalise un reportage pour faire le point sur les grands moments de ce meeting.
Début 2016, je crée une chaîne d’information et son site internet, sur lequel je publie des articles concernant l’actualité internationale. Pendant plusieurs mois, je lis, relis, décortique et décrypte des articles de presse sur différents sujets d’actualité pour les synthétiser et en faire la rédaction sur mon site internet. Une activité m’incitant à pratiquer l’écriture journalistique, et surtout à porter intérêt à l’actualité.
Quelque temps plus tard, je mets un terme à ma webradio à bout de souffle, après la démission de deux animateurs et le manque d’auditeurs. Difficile de fidéliser l’audimat quand les diffusions sont rares et imprévues ! Il faut le reconnaître, j’ai également du mal à me faire à ce type de radio. Ce que je recherche, c’est l’actualité, du journalisme, du stress du direct, de la rencontre avec les gens.
2016
En février 2015, je réalise mon stage de troisième chez Arte, à Strasbourg. Une expérience très enrichissante qui me permet d’en apprendre beaucoup sur la création d’un journal télévisé et la vie d’une rédaction d’information. C’est également le déclic : plus tard, je serai journaliste !
À 15 ans, mon côté vidéaste est remisé pour me consacrer à la radio. Je crée une webradio, projet pour lequel je convie quatre amis qui se glissent dans la peau d’animateurs radio. Les diffusions en direct, composées de musique du moment, de flashs d’information et d’autres émissions plutôt dirigées vers un public jeune sont plutôt rares, et plutôt sous forme de libre antenne, sans filtre.
2015
Puis l’envie et la détermination s’intensifient et les JTs deviennent plus rares mais plus peaufinés, avec des incrustations sur fond vert, la mise en place de bandeaux ou encore la création de génériques. Tout cela avec les moyens que j’avais à l’époque, c’est-à-dire pas grand-chose finalement…
A 10 ans, je m’amuse à tourner des JTs dans une toute petite pièce sombre et étroite avec un appareil photo. Les informations sont inventées (ou tirées de l’actualité mais sans analyse, ni données, ni études) et aucun reportage n’est intégré aux productions finales. Vous l’aurez compris, mes exigences sur les vidéos réalisées n’avaient rien de transcendant, mais cela m’amusait beaucoup et me permettait surtout de toucher à la vidéo. Du moins ses bases.